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Pour le début rien de bien spécial, le mec a une vie clichée de héros de film, il lui arrive ce qui doit lui arriver en protégeant un mort. Comme par hasard l'asiat' meurt en un coup, n'importe quoi. Le principe du jeu télévisé (et donc du film) n'est franchement pas original du tout, c'est une reprise de plein de films qui font plus ou moins la même chose. 30 minute de film et quasiment aucun contenu et puis comment réagit sa "femme" : "quelle histoire ! J'espère que tu vas bien ! Oh noooon..." très crédible bravo. Quel jeu d'acteur de la part des deux bandes de chasseurs ! Et ils se battent quand ils n'arrivent plus à les trouver, mince alors ne serait-ce pas plus faisable pour le héros ? Et bien non car durant tout ce temps il a préféré discuter que s'enfuir, intelligent en plus d'être (faussement) badass chaque fois qu'il ouvre la bouche. Le médecin les a trahi ! Ce film est décidément imprévisible !!!....... Bref ils sont chaque fois sauvés par un tiers comme prévu depuis le début. On apprend aussi que les bandes de chasseurs ont un nom : les ados frustrés se nomment les Swags, les beaufs avec qui ils se battaient sont les Combats, et les gothiques les Darks... Quelle originalité, ce film en transpire par tous les pores. Et attention les Swags et les Darks font alliance pour notre plus grand bonheur. Rah le discours du chef des Swags quand il meurt, ça en devient gênant tellement ça se veut "baddas" ou "epic", on dirait une parodie. Pourquoi est-ce que sa copine et son frère sont devenus Runner durant la partie ? Alors que lui a dû reprendre le jeu à zéro, une faute scénaristique qui facilite grandement la tournure du film. Le mec pète un câble et tue sa femme, sort avec l'autre Runner et devient chasseur ? Pourquoi ? On ne saura jamais, mais sûrement juste pour faire une fin un peu imprévisible. C'est réussi, par contre c'est de la merde. Désolé mais on ne peut que se foutre de la gueule de ce film hyper cliché.


PS : Le personnage principal qui n'arrête pas d'appeler sa femme "bébé" c'est insupportable.

Ismassim
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le 2 sept. 2017

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Ismassim

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