La grandiloquence et le pathétique slave. Parfois l'impression d'une pièce de théatre, avec des tunnels de dialogue interminable et un peu creux, puis en toile de fond persistant de ce huis-clos cette histoire à la fois simple et audacieuse, généreuse: libérer l'oiseau prisonnier de la machine. C'est tout de même un peu long mais suffisamment rythmé et correctement interprété pour qu'on se prenne au jeu de l'enchainement de péripéties simples, dont on veut savoir à quel fin mot de l'histoire elles vont bien pouvoir nous mener.
Dispensable? Oui.
Sympathique néanmoins? Oui, aussi.