Le texte qui suit sur Inner Demon de Ursula Daborwsky n'est en aucun cas une critique objective du long-métrage, mais plus la retranscription écrite du ressenti que j'ai eu lors de la projection.
Je vais voir le film d’après avec Paul, et croyez-le ou non, mais le film australien Inner Demon de Ursula Dabrowsky est sûrement… LE PIRE FILM QUE J’AI VU DEPUIS BIEN LONGTEMPS !!! Si vous cherchez la définition de navet dans le Larousse, c’est sûrement ce film qui sera cité en exemple. Il n’y a absolument rien à sauver. La mise en scène est inexistante ; le montage est épileptique ; la musique est omniprésente ; la cinématographie est laide ; les décors sont incompréhensibles (et pourtant c’est un placard) ; les acteurs en font des caisses ; le scénario est débile, incompréhensible, illogique et tellement vide de sens qu’un épisode de Joséphine Ange Gardien (pour rester dans le registre fantastique) est plus intéressant, et surtout plus cool. Pour vous mettre dans le contexte : deux sœurs se font kidnapper par un couple ultra moche de psychopathes (même le physique des acteurs est raté, un méchant sans charisme, je crois qu’il n’y a rien de pire), la plus grande s’échappe, court dans la forêt, et va se planquer, pendant plus de la moitié du film, dans un placard à l’intérieur de la maison des méchants… avant que des esprits viennent la délivrer. Le traitement de la violence rattrapera peut-être le coup ? Eh bien, cerise sur le gâteau, pas du tout. Au contraire, la direction d’acteurs lors des scènes soi-disant intenses enfonce le clou, et rien d’autre. En effet, on a l’impression que le tueur caresse à coup de hache ses victimes. Mais frappe bordel !
Tiré du journal du festival de Sitges 2015 : lire l'article entier sur mon blog...