J’avais découvert Insaisissables après sa sortie au ciné, et j’avais beaucoup aimé, il était évident que j’allais vouloir voir ce second volet au cinéma. D’autant plus que Daniel Radcliffe était de la partie.
Exit Louis Leterrier le réalisateur du premier volet, bonjour John Chu. On ne pouvait pas dire que son parcours donnait envie (G.I. Joe : Conspiration, Jem et les Hologrammes). Heureusement, on retrouve peu ou prou tout ce qui m’avait plu dans le précédent film : de l’action, des tours de magie incroyable, des rebondissements à gogo, et une impression d’être emporté par un tourbillon. Le rythme ne manque jamais, pas de pause, l’attention est toujours en alerte, jusqu’au dernier plan.
Le casting du premier épisode est de retour mis à part Isla Fisher enceinte lors du tournage remplacé par Lizzy Caplan. Parmi les petits nouveau un acteur qui a joué un célèbre magicien, mais qui cette fois un vrai moldu : Daniel Radcliffe. Autre invité de marque Jay Chou l’acteur taïwanais avait déjà été vu dans The Green Hornet. Tout ce petit monde cohabite très bien à l’écran.
Puisqu’il voulait que ce soit réaliste il a demandé aux acteurs de prendre quelques courts de magie, principalement pour la scène de la carte ainsi que quelques autres scènes. Une scène qui est tout de même un peu longuette.
Je suis plutôt bon public, Insaisissables me plait car je suis comme une gamine devant un spectacle de magie, je me fais avoir, mais c’est pas grave j’en ai eu pour mon argent. J’en ai pris plein les yeux et c’est pour ça que j’aime ça.