Besoin d'un coup de main?

Un paris plutôt réaliste, avec ses rats, ses pigeons, ses éboueurs... Et le périphérique, personnellement j'aime ces films qui arrivent (imaginons que je sois à l'étranger) à reconstituer un espace qui m'est familier et à retranscrire cette ambiance de jours soudains, de pépites.

Les flashback sont assez mal conçu on se perd rapidement.
Je n'ai qu'une envie c'est aider cette main à ne pas se faire défoncer par cette ville soudain si agressive, ou il se passe pleins de petites choses.

Cette magnifique scène de livraison, on adhère totalement. Et cet interphone qui ne coupe jamais ohlala. On à de la peine pour ce gars qui se foire au job du plus bas échelon de la société.

Certains passable m'ont fait penser au film "les lascars" et à "toy story".

Pourquoi un igloo? C'est rigolo mais en bois c'est non, avec les courbes faut pas abuser #infaisable.
Le coup du voice coup de foudre c'est réel, on touche à l'ASMR vraiment intéressant comme concept. On a cet impression d'une scène entre le réel et l'animation, comme si il parlait à quelqu'un de notre monde pas encore reconnu en tant que personnage d'animation. Et puis vient la scène du casque où notre imaginaire se confronte à la réalité et où l'on préférerait même ne pas avoir à croiser cette fille en vrai de peur de tut gâcher.

Un héro touchant mais maudit, maladroit sur les bords mais avec un bon fond. Il a cet age où on se reconnait en train de surfer sur les vagues et ou l'on cherche à capter ces moments de vie intense pour les prolonger à souhait.

Cet astronaute sur le périph m'a vraiment fait cet effet surréaliste bien maitrisé.

A la fin rien ne le forçait à sauter et c'est à gout vraiment une action folle et inutile voir quasi infaisable étant donné la distance on se laisserait à imaginer un raté ou la fille viendrait le sauver d'une mort atroce après cette main coupée mais il n'en est rien.

Une semaine après il me reste quelque images en tête mais sans vrai plus à part le fait d'avoir vu une main baladeuse dans paris qui s'ajoute au possibles de mon imaginaire. Film à revoir plusieurs fois n’empêche.