terriblement maladroit, mais à l'époque :
1) moi aussi j'étais en train de tuer ma mère
2) on découvrait un tout jeune homme passionné, fougueux, enivré par sa passion du cinema, et qui m'enivrait moi du coup. Il était si rafraichissant, avec son amour brutal et engagé pour son art, avec sa capacité à foutre ses tripes, ses larmes, et ses espoirs sur la toile.
Je n'ai retrouvé ça qu'avec Mommy. Où j'ai chialé ma mère!! Son film le plus réussi jusque là pr moi. Oh comme j'ai pu respirer quand l'écran s'est élargi, pendant quelques secondes. Tout y était : le jeu magnifique, la mise en scène, et les plans qui enfin, étaient au service de son histoire si forte.
Les amours imaginaires m'avaient laissée un sentiment de qqn qui met en scène de sublimes images, mais souvent trop vides de sens.
Laurence Anyway m'a emportée par son histoire.
Avec Juste la fin du monde on tourne en rond dans ses thématiques, et son esthétique, toujours aussi sublime m'a pourtant frappée par sa vacuité.

appellemoisimone
7

Créée

le 5 oct. 2016

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