"J’aurai ta peau" possède tous les ingrédients nécessaires au charme du cinéma bis américain du début des années 80 : de la castagne, des courses poursuites, des coups de feu, du sadisme, des ripoux, des machos, des femmes fatales, du sexe et forcément un Mike Hammer sans peur et sans reproche. Il n'ait pas besoin d'en faire des caisses pour dire que ça a évidemment très mal vieilli et ce nouveau visionnage 30 ans plus tard ne possède plus la saveur d'antan. Néanmoins, sans nostalgie aucune, c’est toujours sympathique de me rappeler combien j’étais un fou de VHS et un bouffeur de ce type de longs métrages bancals.
Puis le modernisme a quand même du bon, car j'ai pu voir ce "I, the Jury" en VOST. Ca me permet de lui mettre sans forcer la moyenne.