Le calvaire de Berroyer ou le dîner de cons médiatique
Découvert alors que je parcourais la filmographie de Jacky Berroyer, je suis tombé sur "Je ne vois pas ce qu'on me trouve". J'ai cherché partout ce film et l'ai finalement trouvé sur internet en VOD sur Univers Ciné (pardon pour la pub mais ça fait partie de la démarche et donc de la survenue de la critique).
Plus c'est dramatique - j'avoue une préférence pour les personnages pathétiques à la Jean-Claude Dusse - plus c'est jubilatoire.
Ici, c'est l'histoire d'un humoriste dont les sketchs ne sont pas sensés faire rire.
Un rôle sur mesure pour Berroyer que je regrette de ne pas voir plus souvent.
Alors voilà,
En bon cinéphile, je respecte l'un des commandements : la curiosité, un peu d'archéologie cinématographique et la résurgence d'une oeuvre parmi toutes (oui, d'ailleurs, Berroyer a un côté christique assez sympathique, les épaules basses, avec l'idée que le monde ne se supporte pas lui-même).