Critiquer une bouse 13 ans après sa sortie, j’avoue, c’est du vice.
On me dira que je suis vraiment vilain avec le cinéma américain, et je répondrai que c’est lui qu’a commencé.
Virus, fin du monde, tout ça, j’ai pas pu m’empêcher de revoir les 30 premières minutes de ce bollock-buster que j’avais déjà trouvé moisi à l’époque. Actualité oblige.
Si le dernier homme vivant est un soldat zaméricain qui se bodybuilde à l’huile d’olive, fait des dérapages dans sa grosse Ford Mustang et regarde en boucle des vidéos d’ESPN, non seulement on est mal barré, mais je me demande si cette espèce ne ferait pas mieux de disparaître. Finalement.