Doubles personnalités
Avant de devenir le maître du mélo flamboyant, en fin de carrière, Sirk a tourné, entre autres, quelques excellents films noirs (Des filles disparaissent, L'homme aux lunettes d'écaille), au style...
le 27 sept. 2019
2 j'aime
Déçu par ce film.
L'idée de base est bonne, mais c'est ruiné par cette intrigue amoureuse prévisible et facile, qui affaiblit considérablement les personnages (leur caractérisation je veux dire). les conflits et enjeux sont faibles, les résolutions sont faciles. Les situations sont vite expédiées et on s'ennuie. Le déroulement devient même parfois un peu absurde, pas très crédible. Mais il reste quelques bonnes idées ici et là qui sauvent un peu le film.
Et puis la mise en scène est tout de même maîtrisée et agréable. Le découpage est lisible, le montage rythmé, la musique classique adéquate. Les acteurs font du bon boulot aussi, même si ça touche parfois au surjeu. Certains décors sont chouettes (je pense surtout à la planque des deux amoureux à la fin).
Bref, l'intrigue est faible, c'est dommage.
Créée
le 6 nov. 2019
Critique lue 125 fois
1 j'aime
D'autres avis sur Jenny, femme marquée
Avant de devenir le maître du mélo flamboyant, en fin de carrière, Sirk a tourné, entre autres, quelques excellents films noirs (Des filles disparaissent, L'homme aux lunettes d'écaille), au style...
le 27 sept. 2019
2 j'aime
Un Douglas Sirk mineur, qui se termine en jus de chaussette. On notera tout de même la performance ambigüe de Patricia Knight, sublime pour ce rôle de femme tiraillée. Comme d'habitude, Sirk compose...
Par
le 7 déc. 2012
2 j'aime
1
Déçu par ce film. L'idée de base est bonne, mais c'est ruiné par cette intrigue amoureuse prévisible et facile, qui affaiblit considérablement les personnages (leur caractérisation je veux dire). les...
Par
le 6 nov. 2019
1 j'aime
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
122 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
109 j'aime
55