Une main trouve un pistolet dans une poche, et c'est même pas la sienne.
Il n’y a plus que des lycéens pour reluquer les navires de Yokohama, et ce sont des étrangers en plus.
La pluie consacre trop de temps à poursuivre les prostituées. Puis survient une pluie de tableaux dans un couloir, représentant la même prostituée, tous pressés d’attraper le plus possible de poussière, dans l’espoir de se trouver une nouvelle forme. Ces tableaux finiront jetés dans la mer, degoûtés de représenter une prostituée qui a cessé d’en être une.