The Lovers, The Dreamers, and me.

Un artiste expérimental, c’est ce que j’ai appris et qui m’a étonné quand j’ai terminé le documentaire. Je ne m’attendais pas à quelqu’un d’aussi créatif, qui déborde d’imagination à tout moment et qui n’a jamais cesser de créer des images, des films, de l’animation, il a même fait du documentaire par moment. Mais avec l’ampleur et la détermination que ça prenait pour faire une émission comme The Muppet Show, avec des centaines de technicien.nes occupé.es, tout ça n’a rien de surprenant au final. Il avait déjà acquis cette persévérance artistique depuis son jeune âge adulte. Cette volonté est surhumaine et le suivre dans son parcours et sa folie mène à faire un travail parfois ambigu, parfois ambitieux, mais toujours extrêmement riche. C’est ce que les interviewé.es mentionnent à propos de Jim. C’était un homme important, une pierre angulaire, ce n’est pas pour rien qu’il est le marionnettiste le plus connu de l’histoire et il mérite largement ses louanges et ses titres dans le Hollywood Walk of Fame. 

Someday we’ll find it, the Rainbow Connection
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The lovers, the dreamers and me.