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Jo la raideur
Pour leur huitième collaboration, Jean Girault embarque Louis de Funès dans une histoire surprenante puisqu’il s’agit, de prime abord, d’une intrigue policière dans laquelle ce dernier tue quelqu’un...
le 31 août 2021
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Chantage ?
Chantage : si vous n'aimez pas cette critique, je me suicide (d'après L. Baffie)
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Issu d'autres mains que celle de Girault, ce film tiré d'une pièce de théâtre (The Gazebo) et pour la seconde fois, eut été lymphatique ! Mais le tandem Girault-de Funès réussissait tout, et l'un enrichissait l'autre...
2 466 966 spectateurs, une treizième place au box office sur 38 films millionnaires en entrées (année pas terrible pour le grand écran) , c'est les Aristochats qui avaient trusté la première place du podium... Normal : l'habitude des gouttières et des hauteurs !
Tout est soigné, millimétré, pour faire rire... Le casting est ce ce qui se faisait de mieux à l'époque :
Claude Gensac, éternelle femme de de Funès (pour rire. Pour rire ? Encore qu'ayant entendu ses confidences...) Blier, Galabru, Tréjean, Marin, Préboist (... ) des valeurs sûres du théâtre pour Girault, et pas dans le domaine des films à pleurer... Mais aussi Ferdy Mayne, acteur de naissance allemande, oublié de nos jours mais qui a pourtant plus de 200 cachets à son actif, mais surtout dans des films américano-britanniques....
Le tout sur fond musical de l'habituel Raymond Levebvre qui ne tuait pas le récit... Girault l'appréciait tout comme la télé à l'époque où elle pouvait se payer un orchestre réputé...
On s'assied et on savoure si on aime le comique burlesque a délasser... Du grand art !
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Paris 1° le 01.10.2024-
8
Écrit par
Créée
le 1 oct. 2024
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