Le Joker est une ode à Paul Schrader et son style d'écriture de Taxi Driver à Blue Collar en passant par Mishima.Todd Philips regroupe merveilleusement les attraits de l'écriture d'un Schrader et les intègre a son personnage, d'ailleurs Joaquin Phoenix assimile parfaitement ces données . Le film présente bien sûr d'autres intérêts,la question de l’iconographe explicite avec l'évolution du personnage , le rapport de la société du film avec lui et ses actions et la maniéré dont le film joue avec les mythes propre a son univers mais aussi avec ceux du réalisateur/scénariste. Proposant, dés lors, une réinterprétation de The King Of Comedy et du film inachevé The Day the Clown Cried de Jerry Lewis donnant, par conséquent, un mixe entre discours sur le monde du spectacle et des rapports sociaux
Je suis dans un entre deux concernant le Joker , entre fascination sur le '' Lore '' que propose le film en terme de pure historique sur le cinéma et doute sur la qualité intrinsèque de celui-ci. Chose qui , par ailleurs , me fait aimé le film , avoir ce doute sur une oeuvre nous fait réfléchir a celle-ci , ce qui prouve sa richesse .
Une seconde séance s'impose ,je pense,pour mieux saisir les nuances sur ces questions-là. La note changera surement (ou pas )