A l’instar de celui que je considère comme son pendant logique « the Batman », ce « Joker » met à défaut le relativisme qu’on lui prête au premier regard.
La folie du Joker est expliquée, mais jamais justifiée ni excusée car il est parfaitement écrit.
Excessif mais pas le moins caricatural du monde; ce joker réinvente un personnage jusqu’alors monopolisé par le talent du défunt Heath Ledger.
Mise en scène au petits oignons, l’ambiance de la ville va de pair avec le film précité.
Aussi je me plais à lier leurs univers .. d’autant qu’aucune contre indication ne semble pointer le bout de son nez à l’horizon de la cohérence scenaristique.