Director’s cut
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Je ne m’attarderai pas sur ce Killer’s Romance à l’histoire vue et revue et sans surprise. Il est un film qui se laisse regarder et devant lequel on se diverti. Un film moyen où il y a surtout de l’action avec du gunfight et un tout petit peu de tatane. On découvre alors la boxe du manchot ainsi que des face à face à l’épée. Le kendo japonais affronte ici le « chinese style » dans des décors quelque peu… pauvres. Notons que l’action se situe en Grande-Bretagne, en Angleterre pour être exact. Du coup, niveau budget, ce n’est pas ça. Il se situe au rabais. Un rabais qui nous rappellera que l’on assiste à quelques cascades foireuses en bagnole. Quant aux acteurs, ils s’en sortent pas mal, avec en tête un Simon Yam dans lequel on retrouve l’aura d’un anti-héros. Il s’en dégage un côté détaché et ailleurs, voire énigmatique comme les plus grandes prestations d’Alex Fong à la même époque. Du côté des bad guys, on retrouve un Philip Ko et toute l’exubérance qui le caractérise ainsi que Luk Chuen (aka Yasuyoshi Shikamura) et sa grande fourberie qui s’avèrent être des méchants de taille. D’ailleurs, on aurait voulu que le premier s’implique un peu plus dans sa mise en scène qui peine à offrir de la consistance. Quant à la romance du titre avec la jolie Joey Wong… mouais. Bon. Passons.
Je conclurai ce Killer’s Romance avec une spéciale pour les flingues customisés du personnage interprété par Simon Yam.
(voir peloche et + : https://hongkongmovievideoclub.wordpress.com/2013/10/30/killers-romance-1990-phillip-ko-fei-avis-review/)
Créée
le 25 janv. 2012
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