Ceci n'est pas une critique mais une grille de lecture , désolé ...
Hier après le visionnage de ce film une toute nouvelle grille de lecture me sauta aux yeux .Aussi je voulais vous le partager et en discuter avec vous . SI celle ci est connu et reconnu ( ce qui est sans doute le cas ) je m'excuse d'avance je n'ai aps fait de recherche a amont pour garder mes idées bien claires et sans influence .
A mon visionnage l'impression que le film serais une allégorie a Carpenter et son influence d'Halloween dans le cinéma et sur son propre travail me frappa .
Le nom du protagoniste deja "John" qui une fois seul a l'isolement prononce "Not carpenter's to "...
Le succès PHENOMENAL ( au sens propre ) du film ayant crée des MILLIERS d'itérations a travers le monde inondant le cinéma de la même chose encore et encore et encore . Plongant les spectateurs dans une douce folie s'abreuvant toujours du même produit jusqu'à la folie consentit ne permettant rien d'autres d'immerger plongeant le monde dans la folie du slasher .
Prenons les protagoniste pour appuyer mon propos :
John Trent ( San Neil ) : Big John Himself face a la folie de sa création plongé devant quelque chose qui le dépasse , voyant la folie de son œuvre prendre part sur le monde du cinéma .
Linda Styles (Julie Carmen) : la fan base cinéphiles de Carpenter plongé dans son monde y prenant source et inspirations greffant les oeuvres de Carpenter dans leur vision du monde . A la foie protectrice mais aussi possessive et obsessionnel . Arguant a tous qu'ils ne comprennent pas réellement les œuvre de l'auteur son sens caché et véritable .
Jackson Harglow ( Charlton Heston ) : Le producteur de film demandant a Carpenter de refaire une œuvre de la portée de Halloween de retourner dans son lieu intérieur ( Hobb's End ) ou se trouve la somme de toute ses influence depuis toujours ayant permis le création de Halloween . Accompagné par le personnage de Linda sous entendant qu'il faut donner aux fans ce qu'il attendent , encore du Halloween .
Sutter Cane (Jürgen Prochnow ) : Il est le coté pervers de la réussite de Big John . Celui qui n'arrive pas a gérer ce sucées , celui a qui il monte a la tête lui donnant un sentiment de surpuissance . Comprenant les pouvoirs qu'il a sur les autres par ces œuvres et an tirant un plaisir total et assumé .
Je prends un dialogue qui a dans le film pour appuyer mes propos et ce n'est qu'un parmi d'autres . Si Sam Neils est une allégorie de Big John et le docteur une allégorie d'un critique cinéma ou un cinéphile .
" - Sam Neils : Dehors, ça va empirer.
- Docteur / Critique , cinéphile : Pourquoi ?
-S.N :Chaque espèce sent sa propre fin venir( le style slasheur ) . Les dernières passeront un
sale moment. ( les derniers real sur le genre et les entres catastrophique ) Dans dix ans, peut-
être moins, la race humaine ne sera plus qu'une légende pour leurs enfants. ( Le real du genre
épouvante dans son ensemble ) . "
La scène de fin et pour moi une allégorie de la vision de John du cinéma transformé , envahies par l'influence de son œuvre pourtant si personnelle . Voir sur les écrans des itérations de SON œuvre que l'on s'est accaparé . Symbolisant a la foie son désarroi face a la chose mais aussi le publique s'abreuvant sans cesse de la même chose avec le plaisir dune folie consentit .
j'arête la le texte et déja bien assez long et découragera déjà les 3/4 ^^ .
Voila ceci est une POSSIBLE grille de lecture elle n'est pas une vérité et notons que le scénario n'est pas de Big John mais cela ne change en rien cette grille .
Merci de votre lecture en espérant apporter en nouvel angle a votre vision du film .