Bon la manière de Carpenter de traiter l'horreur ne me parle pas, sa musique et/ou ses choix musicaux forcent beaucoup trop l'ambiance à mon gout, en résulte une propension personnelle à souvent sourire à défaut d'autre chose, et j'ai un mal fou à terminer ce genre de délire.
Après oui la proposition parait globalement cohérente, un gros cauchemar insensé ou toutes les couilleries improbables vont pouvoir être insérées, ça n'a pas fonctionné pour moi mais la démarche générale peut sembler intéressante.
J'ai quand même un doute sur la direction d'acteur aussi, car Sam Neill traverse tout ça dans une certaine indifférence, hormis le début et la fin hein, mais ça fait aussi parti des raisons qui m'ont empêché de vivre un peu l'objet.
Bon bref.