(...) On enchaîne avec L’Appel de Alban Ravassard qui raconte l’histoire de Benoît, 50 ans, un lieutenant de police meurtri par la disparition de son épouse, Lise, voit sa santé physique et mentale décliner lorsqu’elle refait mystérieusement surface des années plus tard. La mise en scène de Alban Ravassard s’applique à nous faire rentrer sous la peau de son personnage, grâce à une cinématographie froide mais constamment humide. Tourné dans un lieu en constante mutation, le bassin d’Arcachon régit par des force magnétiques que l’on a longtemps cru occultes, le court puise dans l’univers Lovecraftien, pour nous raconter la difficulté du deuil et de la perte. (...)
Tiré du journal du festival du PIFFF 2015 : lire l'article entier sur mon site...