Le charme du cinéma américain des 70s, porté par de si bons acteurs, prenant visiblement beaucoup de plaisir à cette arnaque montée comme une véritable entreprise dans des années 30 un brin fantasmées...


Est-ce qu'il en faut vraiment plus ?


Peut-être pas, mais avec un scénario d'autant plus solide et efficace qu'il n'est mené avec une certaine légèreté, L'arnaque réuni parfaitement ce qui fait la plupart des bons films d'arnaques et de casses : un savant mélange de suspens, de paranoïa, de surprise, d'ingéniosité, de compagnonnage et de comédie.

ZayeBandini

Écrit par

Critique lue 5 fois

D'autres avis sur L'Arnaque

L'Arnaque
raisin_ver
9

Critique de L'Arnaque par raisin_ver

Faire croire quelque chose à quelqu'un, le faire évoluer dans un lieu qu'il pense être réel mais est en fait monté de toutes pièces et dont toutes les personnes présentes sont des acteurs, tout ceci...

le 4 févr. 2011

43 j'aime

4

L'Arnaque
Sergent_Pepper
7

Escrocs blancs

Après le succès de Butch Cassidy & le Kid réunissant les deux stars Newman et Redford, George Roy Hill reprend la même équipe pour un film situé cette fois dans l’Amérique de la Grande...

le 29 avr. 2017

28 j'aime

L'Arnaque
Ugly
9

L'embobinage en mode classieux

C'est l'un des grands succès des années 70 qui ramassera 7 Oscars et une belle réputation, un film jubilatoire et séduisant qui doit son charme et sa réussite à plusieurs éléments combinés : un...

Par

le 14 juil. 2016

18 j'aime

9

Du même critique

Les Enfants de la mer
ZayeBandini
8

4°C jusqu'à l'infini

Encore un film d'animation qui ne va pas être distribué avec les bons arguments, lors de l'avant-première en guise de dossier de presse on nous donne le genre de brochures pour les enfants de...

le 7 juil. 2019

20 j'aime

Pierrot le Fou
ZayeBandini
10

Admettons donc.

Aujourd'hui Jean-Paul Belmondo est mort, et avec toute la tristesse que cette annonce m'a procuré, j'ai ressenti le besoin de revoir ce film. Pourquoi celui-ci je ne sais pas, peut-être parce que...

le 7 sept. 2021

9 j'aime

2

Le Détroit de la faim
ZayeBandini
9

À la croisée des films noirs de Kurosawa et des grands polars de Nomura, c'est dire...

Un immense oubli dans les classiques connus et reconnus du cinéma japonais, dans la droite lignée du Entre le ciel et l'enfer de Kurosawa, et augurant en un sens les immenses adaptations de Matsumoto...

le 3 août 2021

7 j'aime