On comprend pourquoi ce film a été primé de nombreuses fois : Cléopâtre de la meilleure actrice pour le personnage de Sean Young, Sauvage (oui, c'est bien ça, essayez de traduire et vous y serez presque!) de la plus belle ressemblance à Dear D. Pujadas : Treat Williams, et pour finir, Le Pear Globe attribué à la BO du film : le moment de musique tyrolienne chantée par John Landis. Le compte est bon, on a affaire (et de loin) AU film de l'année 2012.
Je regrette bien sur de ne pas avoir vu ce film d'auteur auparavant. Peut être trop prude ou bien trop snob... La sagesse est venu à bout de ce chef d’œuvre donc.
Vous pourrez vous demander; les abîmes de ce film regorgent de subtilités, de non-dits mais aussi de bienveillance envers le téléspectateur. Quelle serait donc la morale de cette merveille du 7e art ?
Ce n'est pas la taille qui compte.