Il y a des films qui n'appartiennent pas au monde de la notation.
Dans le futur, un film comme celui ci sera observé, scruté, approfondi, admiré dans ses moindres détails : des mots seront écrits en pure perte.
Gene Tierney, Rex Harrison, George Sanders, Bernard Herrmann (dans une de ses plus grandes partitions), Natalie Wood (qui en était déjà à son sixième film) et le pittoresque Robert Coote, présent l'année d'avant dans "A matter of life and death" de Powell...
Tous les chemins menant à Rome, c'est Jacques Martin qui m'a fait découvrir ce film, par l'intermédiaire de Dominique Rabourdin, dans une émission dominicale dont je ne me souviens plus le nom...
Je suis monté sur Paris la semaine suivante, et j'ai compris
ce qu' on appelait un classique.