Un film qui raconte l’histoire d’un porteur d’eau d’une équipe cycliste. Une plongée dans l’univers des forçats de la route, entre entraînements et carburants autorisés ou non. Le corps y est montré comme une machine qui s’améliore, qui s’entretient et qui peut se gripper. Dommage pour la croyance dans le récit que le décorum ne soit pas très réaliste alors qu’il installe son histoire sur le Tour de France 98. Dommage aussi que la romance ne paraisse un peu forcée et comme un artifice utile au scénario.