De quoi trouver la foi...
Bien heureux ceux qui ont pus le voir dans les salles obscures...
Cette scene d'intro...
JOJO plus tout frais, MAMA fraiche comme la rosée belle comme le ciel... Ces échanges de regards... cette photographie... cette tension...
Cette scene d'intro quoi...
Et ce JC, magnétique, tenébreux et mistérieux, beau a faire bander un saint (apôtre)...
JC est dur, JC est froid, JC est sans concéssions...
JC est un révolutionnaire, JC est un juste, JC(VD) défie l'ordre moral et l'ordre établi...
Tu lui donne tout à ce JC... en tout cas moi, y peux meme prendre mon slip si y veux...
Cette bande son... cette photographie... cette voulue lenteur qui te met dans un état second de contemplation... et ces plans... CES PLANS...
ET cette crucifixion... cette cruci mes dieux...
Putain c'est du lourd...
C'est pas JC qui tombe aux stations mais MAMA (La mere de Pasolini herself en splendide Mater Dolorosa) qui tombe au rythme des coups de marteau...
Putain si elle prend au tripes cette scène...
Bref, un bijoux, envoutant, béstial, brutal, fin, sobre, sans une note de pathos, beau, violent, vrai et tellement hypnotique... Et cette beauté troublante de plusieusr protagonistes...
De quoi vraiment trouver la foi...
Seules bizzareries, ces cuts brutaux qui suivis parfois de longs plans silencieux qui te laisse le temps d'apprécier la scene que tu viens de voir ou parfois directement suivi d'une scene de dialogue... Ce qui est foutrement moins digeste et plus spécialement pour la BO en mode genre ON/OFF parfois.
Ce film magnétique m'a aussi fait pensser à:
https://www.senscritique.com/film/la_parole/370298
Ps: je sais que j'écris comme une bite! Bisous...
Créée
le 31 oct. 2022
Critique lue 29 fois
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