Le Père Gabriele Amorth fait l’objet de vives discussions. En effet, son poste d’exorciste en chef du Vatican pourrait être dissous. En même temps, un cas de possession démoniaque est signalé.
Dans la première partie, le film se calque grandement sur L’exorciste de William Friedkin mais bon comment faire dans l’originalité quand les deux histoires comportent tant de similitude. La magie hollywoodienne s’empare des livres d’un prêtre ayant réellement existé mais il en reste, au final, peu ou prou même si les producteurs tentent de nous convaincre du contraire. On s’inquiète pour la continuité de la carrière de Russell Crowe, loin de sa carrure de sportif dans Gladiator, même s’il réussit pourtant à être convaincant. Néanmoins, le métrage demeure distrayant.