Le mouvement, c'est la vie
Les scènes obligées sont assez belles, comme d'ailleurs tout le film, et s'intègre bien au récit, bien. Il faut voir Naomi Tani bouger et s'abandonner pour saisir pourquoi elle est devenue une égérie...
Par
le 18 nov. 2020
Les scènes obligées sont assez belles, comme d'ailleurs tout le film, et s'intègre bien au récit, bien. Il faut voir Naomi Tani bouger et s'abandonner pour saisir pourquoi elle est devenue une égérie du pinku eiga, elle est irrésistible, alors qu'elle me laisse indifférent en photo. Un jour quelqu'un m'a dit que le mouvement, c'est la vie... Un ton libertaire souffle sur le film, qui rappelle Imamura bien sûr, dans son portrait de ce monde en marge, vivant et passionné. Joli titre en passant. (vu en 2020)
Créée
le 18 nov. 2020
Critique lue 144 fois
D'autres avis sur L'Extase de la rose noire
Les scènes obligées sont assez belles, comme d'ailleurs tout le film, et s'intègre bien au récit, bien. Il faut voir Naomi Tani bouger et s'abandonner pour saisir pourquoi elle est devenue une égérie...
Par
le 18 nov. 2020
L’actrice dans un groupe de réalisateurs de films pornos tombe enceinte et ne souhaite plus tourner de films le temps d’accoucher.Sur le début, ça commençait bien : on est sur la question du...
Par
le 15 nov. 2020
Du même critique
C’est la guerre du caramel dans le japon d’après guerre. Dans les départements publicité, c’est à qui aura la meilleure idée. En 1958 déjà, Masumura brosse le portrait d'une société japonaise...
Par
le 27 nov. 2020
6 j'aime
La popularité de Lei Li, jeune éphèbe épéiste, s'accroît de jour en jour, à tel point que le vieillissant et fourbe Lung pourrait perdre la place privilégiée qu’il occupe dans la communauté. Il piège...
Par
le 29 mars 2021
5 j'aime
La belle Ayako, son mari et son supposé amant font de l’alpinisme, ils décrochent, Ayako coupe la corde qui retient son mari et celui-ci s’écrase plus bas. Elle est accusée de meurtre. Masumura passe...
Par
le 15 nov. 2020
4 j'aime