La franchise James Bond 007 durant les années 70 jouait nettement sur les effets de mode du cinéma, chaque film étaient un fourre-tout, ici pour L'Homme au pistolet c'est le cas une fois encore. Le scénario est par moments décousu, il y a des failles scénaristiques dès le début avec un appareillage révolutionnaire disparaissant avant même le début du récit pour réapparaître à la toute fin d'ailleurs dans un premier temps le sujet est un duel entre Bond et Scaramanga un tueur d'élite pour enfin découvrir que celui-ci est aussi le voleur. L'humour est bas de plafond, on voit du pays (Liban, Hong-Kong, Mer de Chine) des scènes de kung-fu font artificielles mais l'action se laisse voir, le charme des James Bond avec Roger Moore fonctionne encore assez bien à l'époque.