Quand on suit les réalisations de Josée Dayan, à la longue on réalise que son cahier des charges est bien souvent le même d'une histoire à l'autre, et qu'il n'y a rien de bien de nouveau sous le soleil de ses polars ...

Le train-train quoi, d'autant qu'elle en émaille souvent ses réalisations !

Le pire est qu'en prenant de l'âge, elle prend aussi des "habitudes de vieux", se fondant sur l'apophtegme "on ne change pas une équipe qui gagne" et consistant à recruter toujours le même casting avec quelques variantes...

Comme Jacques Spiesser, 62 ans à l'époque de cet enregistrement , et qui joue faux comme pas possible. Le pire est que comme il semble être "sociétaire de la télévision française", (il est loin d'être le seul) on en subit une overdose au point d'éprouver un phénomène de rejet.

Un ami me confia même lors de la bénédiction "urbi et orbi du pape" à Rome, avoir entendu son voisin dans la foule le questionner : "Tiens, c'est qui cet homme en blanc à côté de Spiesser ?"

Bon, si vous n'avez rien de bien mieux à voir à la télé, tout n'est pas à jeter, notamment les repérages valant de belles images toujours soignées chez Dayan, mais ce n'est pas non plus le long métrage que j'élirais pour aller en vacances sur une île déserte... Avec ou sans cercles bleus.



la trois (RTBF) le 06.07.2022-

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le 14 juil. 2022

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