L’Antoine de caunes n’est pas un homme comme les autres

Un peu simpliste et très exagérée, cette comédie n'est pas désagréable pour autant.
Parce qu’Antoine de Caunes est lumineux, et crédible en homo, en juif, en musicien, tout lui va, il joue bien, il est beau, et il nous emmènerai n’importe où.
Elsa Zilberstein est aussi jolie mais a un rôle moins évident, moins bien écrit: sa Sara est trop appuyée dans ses travers, trop mal fagotée, bref elle n’a pas autant de crédibilité que son acolyte.


Ils sont mignons tous les deux et c’est le principal, à côté les personnages secondaires sont trop exagérés mais tout de même assez plaisants et il faut accepter ce côté complètement artificiel.


Le vrai défaut c’est cette histoire qui pourrait vraiment être mieux menée mais qui préfère jouer sur la simplicité: c’est comme si le personnage de Simon perdait toute sa complexité en un coup de baguette magique, et on a du mal à comprendre comment on passe d’un état à l’autre.
n pourra regretter une histoire un peu trop “facile”, on a du mal à comprendre comment Simon passe de l’état du “je me moque gentiment de cette cruche de sara” à “sans sara rien ne va”, mais on a envie d’y croire quelque part.

iori
6
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le 8 sept. 2016

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iori

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