Слова "ром" и "смерть" должны означать для вас одно и то же!

Si vous trainiez sur Twitter en 2022 vous l'avez forcément vu au moins une fois ce Dr Livesey taillé comme un méchant principal de One Piece, il était partout et c'était le même a la mode pour l'image du "chad" et c'était très drôle MAIS, a la vue des différent extrait utilisé dans les même pas mal de personne dont moi ce sont dis "hey punaise elle est charmante et assez original cet animation d'où ca vient ?" et bah ca vient surtout a point nommé car récemment j'ai voulu m'intéresser au cinéma et a l'animation russe, pour l'instant tout ce que j'ai vu c'est notre film du jour et La Reine des Neige qui est très bon vraiment voyez ce film c'est une pépite, c'est donc après avoir finit lire l'excellent roman de Robert Louis Stevenson que je m'attaque a cet adaptation soviétique et c'est une merveille tout simplement limite un OVNI cinématographique.

On est face a un film très expérimental quand on s'y connais en animation, en sois le film c'est un gros cartoon que ce sois la direction artistique, certains choix d'adaptation étrange (Dr Livesey en premier plan compte tenu de sa description physique dans le roman) ou le récit qui est très fidèle au roman mais dont la violence et la tension sont remplacé par des gag que Tex Avery aurait surement fait dans son âge d'or, par exemple la scène ou Livesey, Trelawney et le capitaine s'échappe du bateau pour aller sur l'île commence comme dans le livre avant que l'un des pirates transforme le canon en canon automatique qui fusille des boulets de canon dans tout les sens la course-poursuite devenant une cacophonie délirante, ou la scène culte de l'attaque du fortin qui regorge de trouvaille et de gag drôle de par leur idée et le rythme parfait du film, non ce qui rend le film vraiment génial c'est ce qu'il font avec l'animation, et pas que.

Car dans son introduction et a plusieurs reprises le film passera en prise de vue réel avec des pirates en chair et en os et un mélange "live-action/animation", a l'exception de l'intro qui est une bagarre laissant suggérer comment Billy Bones (en animation devant la caméra bien réel) a trouvé la carte avant de ce refugier dans l'auberge ou habite Jim, ou une pastiche du cinéma muet sur le passé de Ben Gunn, la majorité de ses séquences sera surtout des interludes musicale: sois sur des chansons tiré du roman "Nous étions quinze sur le coffre a l'homme mort" ou des délire propre a cet adaptation comme les bienfait des exercices matinaux ou les danger du tabagisme, et croyez moi de par leur réalisation qui arrive toujours a ce renouveler via les décors les ambiances les cadrages ou les jeux de lumières ses séquences sont bienvenue dans le film et participe a son charme ainsi qu'a son ambiance de cartoon expérimental.

Car l'animation n'est pas en reste et faut le dire ce film est magnifique, le chara-design des personnages est marrant ca bouge tout le temps c'est dynamique, y a des travelling des 180 degrés des mouvement de caméra en vue subjectif ou des transition qu'on voit très peu en animation parce que c'est des plan extrêmement compliqué a dessiné et qui seront plus facile a faire lors de l'arrivé de la CGI comme par exemple avec Tarzan, Atlantide ou La planète au trésor coté Disney qui auront une caméra beaucoup plus mobile grâce au décor numérique donc j'vous laisse deviné a quel point c'est impressionnant quand pendant tout le film on va joué avec cet caméra libre ou des jeu de perspective en animation traditionnelle c'est absolument bluffant a voir.

Et parfois a de rare occasions, l'animation change complètement pour adopté un style "papier découpé", il faut savoir que 9 ans avant l'ile au trésor Cherkasskiy réalisé une adaptation des Aventures du Capitaine Wrongel (un livre jeunesse d'aventure humouristique russe) animé entièrement avec cet technique d'animation, je suppose qu'au vu des mélanges de style du film il voulait ré-utilisé cet technique qui plus est sur des moment important du roman comme le décryptage de la carte au trésor, l'embarcation dans l'Hispaniola ou lorsque Jim découvre la mutinerie de John Silver qui conclue en plus la 1ere partie du film et qui offre un jeu de lumière splendide sur ses personnages.

Et je félicite beaucoup le film sur ses audaces mais des élément plus simple arrive a être tout aussi brillant, Dr Livesey bien qu'il ne fasse que 8 minutes de temps d'écran est marquant pour les raisons qui on en fait un meme, ce design avec ce sourire et ce rire jovial ou sa manière de ce battre en 1 v 3 mais il ne regarde même pas ses adversaire trop occupé a reniflé une bel fleur en fait un personnage marquant avec une personnalité qui l'est tout autant, le John Silver a un design amusant mais avec une voix sombre et malveillante a souhait, un moment qui profite pleinement du médium de l'animation c'est juste avant l'attaque du fortin lorsqu'il fume en parlant et que la fumée forme une tête de mort qui termine sa phrase avec une voix encore plus sombre, moment court limite anecdotique mais très efficace pour montré la menace du personnage qui tranche dans une ambiance cartoonesque.

Cet conclusion changera évidemment plus tard car l'heure actuel je n'ai pas vu beaucoup d'adaptation de l'île au trésor si ce n'est celle ci et celle de 1950 par Disney qui est sympathique et beaucoup plus classique, néanmoins celle ci juste en terme d'adaptation sort du lot, la ou comme La reine des neiges cité dans l'introduction on aurait pu "juste" avoir un bon film avec ce dépaysement propre a l'animation russe que l'on connais et maitrise assez peu comparé a d'autre pays occident ou asiatique, David Cherkasskiy et le studio Kievnauchfilm on pondu un film unique, fidèle a l'histoire tout en étant plus drôle et coloré pour les enfants mais qui montre ses vrai fulgurances pour le cinéphile et le fan d'animation en quête d'expérience et d'audace filmique, l'heure 46 passe a une vitesse folle comme la tonne d'idée que voulais mettre en image David et c'est comme ca qu'un meme sur twitter a pu mettre la lumière sur une pépite du cinéma soviétique et sur un réalisateur jusque la resté confidentiel dans son pays d'origine.