Difficilement négocié. Nébulosité pénible. A la fin, un véritable pain dans les fesses. Au sésame, çà gratte encore plus.
L'histoire frôle l'imbitable. Aller et retour entre des paysages, des personnages. Les liens se révèlent tardivement. Sans pour autant éclairer toutes les parts d'ombre du récit. Mais ce n'est pas le pire, au contraire l'on pourrait même vanter ces méandres, ces circonvolutions, ces attentes, mais le plus dur sont les longueurs et les inutiles scènes, rendant plus ennuyeux ce qui était déjà étiré à l'excès.
Pour ajouter au labeur visuel, la caméra se met en tête de simuler l'oeil de l'humain qui marche : la caméra à l'épaule finit de rendre ce spectacle douloureux.
Heureusement, le jeu des comédiens vient empécher l'irréparable, le suicide du spectateur.
Pas ma tasse de thé.