Kad Merad est vraiment partout, et ce à notre plus grand regret. Loin, très loin de Bienvenue chez les Ch'tis qui avait au moins le mérite d'être drôle, sa dernière "performance" est proche du zéro absolu.
Bourré de clichés, le film aurait pu au moins nous faire sourire, raté, tout était déjà dans la bande-annonce.
Mais en plus de ne pas nous faire rire, Olivier Baroux veut nous imposer une leçon de vie, oui, nous devons assumer qui nous sommes et arrêter de mener une double vie. Sauf que là aussi cela tombe complètement à plat. Après avoir tenté, de manière pathétique, d'être un minimum drôle avec cette litanie de clichés, Kad Merad coule complètement en surjouant la rédemption pour ce péché de travestissement. Il est malheureusement encore moins crédible quand il pleure que quand il rigole.
Au final donc, une avalanche de clichés tant sur les italiens que sur les algériens, et un vieil impotent incapable de rejouer des claquettes qui fout la merde. Atroce.