En 1975, sort, l’une des œuvres les plus controverser et décrier de ces auteurs, une œuvre censurer et bannis dans de nombreuse zone du globe, une œuvre qui sera protéger et emportera des auteurs telle que Gille Deleuze à la tête de tribunes visant à le défendre, un film qui dans ça discrète controverse ce verras oublier, nier et effacer par l’histoire, Schatten der Engel, réaliser par Daniel Schmid, écrit et issus de la pièce de théâtre controverser de Rainer Werner Fassbinder, L’Ordure, la ville et la mort.
Deleuze, au sujet de la pièce et du film, appeler à ne pas amalgamer « énoncé et énonciateur », ne pas confondre l’exposition du révélateur, car dans ce film, Fassbinder et Schmid ne font pas effet de propagateur et de créateur de la négation mais bien le rôle de la révélation, de l’exposition, de la découverte du « non » et de son analyse et non de son créateur.
Le film nous expose Lily, belle prostituer en manque de client exploiter par son mac et amant Raoul, un parieur compulsif et jaloux, elle finit par rencontrer « le riche juif », un homme qui deviendra son client attitrer, un homme vénal, détenteurs de la plupart des biens immobilier de la ville, infiltrer dans la politique et profondément manipulateur.
Ici, dans ce postulat, la dimension subversive de l’œuvre prend forme par l’individue du « riche juif », seulement cette considération n’est qu’une apparence, une évidente tromperie qui, de part ce personnage nous permet de jouer le jeu de la révélation.
Fassbinder, n’en n’est pas à ça première controverse, personnage sulfureux dans le privée et artiste provocateur, Fassbinder à toujours trouver intérêt à exposer les tabous et les parts d’ombre de la société allemande, marquer de son passer, il sut toujours constater et révéler par les images, les relations de domination de la société capitaliste et l’évolution de son propre pays et le lien qu’elle entretien avec le passer.
L’œuvre exposer, subit une sombre histoire lier à ça diffusion, composer de censure et d’interdiction multiple, comme lors de la première prestation de L’Ordure, la ville et la mort ayant entrainer des manifestation et des blocages devant le théâtre, comme évoquer, la raison fut évidement le personnage du riche juif et tout ce qui l’entoure, un personnage qui semble à tout abord, l’image d’un cliché antisémite pouvant être affubler à la communauté juif, un riche magnat de l’immobilier, cruel, manipulateur et infiltrer dans les plus haute sphères de la ville.
Cette même ville, froide, insalubre, ou le sexe, la prostitution et la corruption gangrène chaque coins de rue, une ville détruite par la mains froide et avide du « riche juif », cependant, de cette analyse de surface fessant ressortir l’aspect antisémite de l’œuvre, si l’ont s’arrête momentanément sur ce personnage et cette situation pour ce poser une question socio-historique sur la condition juive et pourquoi, le riche juif, ce retrouve par un déterminisme historique à exercer ça position actuel.
Les juifs, a travers l’histoire et les pays, ce sont retrouver opprimer, comme durant le 18eme siècle ou les juifs furent reléguer à travailler dans les banques et la finance uniquement, ce qui fit de façon générationnelle l’accumulation et la redistribution d’un certain capital et déterminisme, cependant cette analyse reste faible et en dehors du cercle cinématographique, elle permet d’exposer que, oui, les juifs sont plus assimiler dans un imaginaire collectif régressif à l’argent et donc aussi que certain exerce une position telle quel dans ce pant de l’existence économique capitaliste, cependant, cette considération hors de propos nous permet de prendre conscience d’un aspect essentielle du film, la vésiculation des stéréotype et le fascisme.
Comme aborder au début de cette défense Fassbinder et Schmid s’exerce tous deux au travaille de révélateur, en fessant le travail de l’exposant inverse de l’exposer, durant le film il nous montre que le riche juif est en effet le riche juif puisque les autres personnages lui attribuent cette considération, nous entrainent tout droit vers le sujet profond du film, un film n’abordant pas la négation de l’antisémitisme mais de l’antifascisme.
Ce qui créer le riche juif, n’est comme citer précédemment pas Fassbinder et Schmid mais bien une forme de déterminisme sociaux-historique mais surtout et essentiellement, le monde.
Tous ce qui entoure « le riche juif » ce découvre comme être une constante résistante du fascisme, des débris d’une double négation, la négation originelle qu’implique le fascisme et la négation vis-à-vis de la population allemande sur un passer proche emplis de traumatisme, on oublie, on cache par « pudeur moral » et on avoue à demi-mots les pires atrocités commises, on nie leurs constante actuelle, les restes du fascisme.
Ce fascisme qui réapparait constamment dans le monde de Lily ce retrouve être inscrit dans chacun des personnages, dans le font de leurs êtres, comme par exemple son père, un travesti chanteur de cabaret anciens partisan du régime nazi, envers lequel le riche juif entretien une véritable animosité lui donnant le rôle du meurtrier de ces parents, mais plus profondément, un père qui fantasme ce retour à ce régime abject auquel ils fut un horrible participant, il ce retrouve dans cette espérance vengeresse et circulaire de la volonté d’y retourner, un éternel retour signifier par « le fascisme vaincra », une phrase, pleine de ressentiment dans le film qui nous fait comprendre et notifier que derrière le maquillage, derrière un maquillage donc derrière un artifice, un artifice qui s’enlève facilement, car comme le maquillage cache le fascisme, les personnages, sauf Lily, ce cache tous de cette haine profonde intérieur.
Le fascisme et partout, sous chaque individue qui compose la ville, chaque personne, il n’est pas le « Riche juif », on à fait de lui le riche juif, que ce soit Raoul avec son obsession pour cette individue, sur son envie mixant haine et plaisir, sur les anciens nazi ou sur les hommes de mains complotant dans le dos de notre personnages, tous son nourris du ressentiment, du négatif et de ça négation, et comme le fascisme, plein d’essentialisme, on nous révèle un personnage démunis de nom, essentialiser à travers « le riche juif », victime du fascisme, révéler par le démaquillant à l’odeur amer de Fassbinder et Schmid.
Le riche juif n’est que la conséquence de son propre nom et non une volonté de négation de c’est auteurs, l’œuvre du révélateur et non du créateur, la négation du négatif, l’instinct antifasciste de c’est auteurs.