Neverland.
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Simon est un enfant qui joue avec des amis imaginaires. Sa mère, Laura, orpheline, a grandi dans un orphelinat qu’elle et son mari viennent de racheter pour le réhabiliter. Mais Simon disparait, et alors que tout pousse à croire qu’il est mort, des visions vont venir habiter Laura, persuadée qu’il est toujours là, avec ses amis invisibles.
C’est cool. C’est le premier film de Juan Antonio Bayona, qui traite déjà du sujet que l’on retrouvera dans toute sa filmographie : la relation mère-fils. Traitant ici bien plus la mère, étant donné que le fils est porté disparu. Une mère qui ne lâchera rien pour le retrouver, mue par un lien invisible qui lui fait savoir qu’il est toujours là, quelque part.
Doté d’une ambiance gothique magnifique et pesante, l’Orphelinat se laisse suivre, dévoilant son intrigue au fil de son avancée. C’est le reproche que je lui fais : la progression est ultra-linéaire, et les différentes questions qu’il pose trouvent leurs réponses logiquement. Ca vient peut-être du fait que je l’ai vu juste après The Wailing, qui lui demande un vrai investissement car il ne révèle pas toutes ses réponses de manière limpide (s’il vous plait, regardez The Wailing).
Quant à l’Orphelinat, c’est un bon film, très joli, aussi bien visuellement qu’émotionnellement.
Créée
le 22 févr. 2017
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