Des escrocs venus de l'Est
Une Trabant sur l'affiche, avec 4 individus autour et un synopsis qui dit presque tout sur l'intrigue : forcément, cela nous renvoie à plusieurs longs-métrages allemands de ces deux dernières...
le 8 sept. 2024
1 j'aime
Très instructif sur l'intégration de l'Allemagne de l'Est dans l'entité "Allemagne fédérale" au début des années quatre-vingt-dix. Il est surprenant d'apprendre que le film s'est appuyé sur un fait divers réel.
L'histoire est présentée avec une sorte de détachement plaisant. Les images sont particulièrement soignées. J'ai aimé ces couleurs bleu électrique et orange vif ou ocre que l'on voit comme une sorte de leitmotiv stylistique - quel sens leur donner - durant tout le film.
Quelques belles réflexions par ailleurs sur ce que l'on peut considérer comme le "bien commun" ou sur la valeur de l'argent.
A voir sans hésiter.
Créée
le 12 sept. 2024
Critique lue 92 fois
D'autres avis sur La Belle Affaire
Une Trabant sur l'affiche, avec 4 individus autour et un synopsis qui dit presque tout sur l'intrigue : forcément, cela nous renvoie à plusieurs longs-métrages allemands de ces deux dernières...
le 8 sept. 2024
1 j'aime
Ce film est un très fort exemple de la manière dont la solidarité et l'unité peuvent élever la narration cinématographique, offrant au public à la fois inspiration et plaisir. Sous la direction...
Par
hier
Après un générique aussi psychédélique que monétaire inspiré on constate une chose qui pourrait paraître anecdotique, le choix des tons et couleurs qui rappelle que, oui, il y avait du soleil aussi...
Par
le 18 sept. 2024
Du même critique
La presse écrite semble enthousiaste. J'avais vu "a touch of sin" du même metteur en scène et en avait beaucoup apprécié le ton et le style. Peut-être attendais-je trop de "au-delà des montagnes" ...
Par
le 30 déc. 2015
4 j'aime
Un nouveau film très intéressant d'E. Riklis. Certes, le scénario ne semble pas totalement crédible mais le film donne à voir, par petites touches, le quotidien des Arabes citoyens d'Israël dans les...
Par
le 16 févr. 2015
4 j'aime
Wong Kar-Waï nous offre un court long-métrage ou un long court-métrage - moins d'une heure - au charme indéniable. Le scénario tient en peu de choses. Le timide - et probablement vierge - Zhiang se...
Par
le 31 janv. 2024
3 j'aime