Dans les annales de l'histoire moderne, il n'y a pas eu de folie comme la folie du Parti nazi, qui a atteint son point d'embrasement apocalyptique dans le bunker souterrain tentaculaire sous la chancellerie allemande où Adolf Hitler et son entourage ont passé leurs 12 derniers jours avril 45 à la fin de la Seconde Guerre mondiale. En ce moment, la folie nazie avait fait l'étendue de ses dégâts, provoquant une guerre qui a détruit une grande partie de l'Europe et a coûté 50 millions de vies, dont 6 millions pour la Shoah et autant de morts dans les camps d'humain innocent de diverses nationalités réprimés par les nazis ont été prises dans les camps de concentration. Une grande partie de l'histoire est racontée du point de vue de Traudl Junge (Alexandra Maria Lara), sténographe d'Hitler pour les deux dernières années et demie de la guerre. Traudl Junge, 22 ans, quand elle a commencé à travailler pour Hitler, est une ingénue aux yeux brillants, et elle vient de se tenir pour l'ensemble de l'Allemagne elle-même dans son authentique, mais la foi persistante erronée dans le Führer. Comme l'Allemagne, elle se permet de croire en Hitler, même si le pire est évident, elle ne peut pas secouer l'espoir. Pourtant, la mort est partout. Et jusqu'au bout elle soutiendra Hitler, malgré tout ce qu'elle a vu et su en étant la secrétaire d'un psychotique, mais loin de tout elle n'a pas eu une vue d'ensemble des désastres qui ravageaient son Allemagne, non elle ne voyait que ce qu'elle entendait et cela jusqu'à la fin du troisième Reich et d'Hitler. Faut dire sur ce film que celui-ci a été une production Allemande, je crois la première fois qu'un film est tourné vers le passé et sur l'hystérie et l'agonie du troisième Reich et du peuple allemand. La réalisation Oliver Hirschbiegel est exceptionnelle et celle de Bruno Ganz fantastique. Et tout le film en est rehaussé un film à voir pour les amateurs de ce genre de film.