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Le basculement
Suite directe du précédent volet les Evadés de la planète des singes, puisque le personnage de Ricardo Montalban qui apparait un peu ici, avait recueilli dans son cirque César le fils de Zira et...
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le 23 mars 2018
21 j'aime
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« Depuis quand encourage-t-on l’intelligence chez les esclaves ? »
Salauds d’humains
Une sédition est menée par César, le fils de Cornelius et Zira.
Son positionnement de quatrième volet dans la série lui donne une place ingrate et méconnue, pourtant c’est un authentique chef-d’œuvre. L’ambiance dystopique est fort réussie notamment grâce à sa police omniprésente et qui s’apparente à la Gestapo. Ici, l’allégorie de l’esclavage est extrêmement patente ; de plus, on voit une myriade d’afro-américains pour la première fois dans la saga, par contre, aucun ne lèvera jamais la main sur un singe et même ce sera le bras droit noir du gouverneur qui aidera César à fomenter son insurrection comme unis contre l’homme blanc. La fin est quasiment aussi impressionnante que celle du premier car on visionne les prémisses d’un basculement du pouvoir. Bref, un film qui s’inspire allègrement des émeutes raciales des années septante et qui aurait parfaitement conclu la franchise.
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le 23 juil. 2024
Critique lue 17 fois
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