Quand Priscilla croise la route de John Waters...
Le cinéma australien est à l'image du pays, vaste, et on pourrait même dire démesuré.
Il y a une quinzaine d'années déjà, Stephan Elliott nous avait embarqué avec sa Priscilla dans une virée tonitruante dans le désert, et voici venir une de ses cousines "wallabys", qui nous convie au bal de fin d'année d'un lycée "sans complexes", où nos ami(e)s queer se chamaillent, se tripotent, chantent, dansent...
Non sans une certaine nostalgie, notre bon vieux John Waters venant se rappeler à notre bon souvenir, on se laisse volontiers prendre (sans mauvais jeu de mots) par cette comédie musicale outrancière et gentiment trash.
Amis du bon goût, passez votre chemin, quant aux autres, bienvenue au club !