La dolce vita, où comment suivre la vie de Marcello lors de soirées mondaines, de rencontres et de balades dans les petites rues italiennes. Après quelques dizaines de minutes, on comprend vite qu'il n'y a pas vraiment de fil rouge, non, on est transportés avec le personnage principal comme si on vivait les évènements avec lui.
Il erre entre paillettes, champagne et paparazzi, suit un chemin qui semble hasardeux, en trébuchant au passage sur toutes les belles femmes qui jonchent son chemin.
Pourtant, Marcello ne semble jamais se sentir à sa place. L'amour, le vrai, semble lui échapper de manière incontrôlable.
La dolce vita, c'est se baigner en robe dans la fontaine de Trevi, improviser une sortie dans un cabaret à Rome, rouler dans une belle voiture le soir, ou encore lancer des plumes blanches dans les airs en fin de soirée bien arrosée.
Mais derrière cette douceur, n'y a-t-il pas une certaine tristesse? Une dure réalité? Derrière toute cette douceur et cette spontanéité, le témoignage d'évènements comme un suicide ou le désespoir d'une femme n'apparaît-il pas d'autant plus troublant?