J'ai découvert Mathew Broderick dans ce film et j'avoue qu'il porte sur ses épaules cette petite pépite de bonheur. Jennifer Grey avait ici un rôle bien plus sympa que dans Dirty Dancing et fait montre d'un jeu bien plus agréable.
Quoiqu'il en soit je n'ai pas grand chose à en dire, le montage et le ton du film se suffisent à eux-mêmes et on retrouve ici ce qui faisait la saveur des années 80 avec de multiples évènements (et non une simple construction sujet/verbe/complément contemporaine).
Déformation internet et fan theories oblige, on ne peut s'empêcher après visionnage du numérique que Ferris est juste un glandu lambda qui a fantasmé sa journée de bout en bout. Je crains que cela ne gâche le propos initial malheureusement.
Merci Karim Debbache pour la découverte !