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Montre en main
C'est autour d'une grande horloge donnant l'heure de plusieurs pays se trouvant dans le bulding d'Earl Janoth, l'un des grands patrons de la presse, que se déroule l'action du film, là où ce dernier...
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La Grande Horloge par Alligator
Plutôt mal écrit. Dieu que ce George Stroud semble tout faire pour qu'on le considère comme un imbécile! On ne m'enlèvera pas de l'idée qu'un type qui s'enferre ainsi dans ses mensonges, qui oublie de partir en voyage de noce, qui persiste et signe en s'imbibant avec une blonde inconnue plutôt que de courir retrouver sa femme n'est pas loin du parfait élève de Bozo le clown. Le scénario réalimente fréquemment la machine à fabriquer de l'improbable avec des situations insensées, des personnages loufoques. Une accumulation vite exaspérante. Loufoque... parlons-en de cette teinte humoristique beaucoup trop présente et qui annihile toute vélléité de noirisation du scénario. Le suspense est aminci, détérioré. Un film à refaire en somme.
Fort appréciable reste l'interprétation des acteurs principaux comme des secondaires. M'ont bien plu les libertés de jeu que prirent Laughton par exemple, cabotin, vas! et Ray Milland bien entendu.
La photographie également est plaisante, bien tenue.
Mais au final, on se retrouve avec un petit film qui court plusieurs lièvres à la fois et perd la chasse en même temps que la place. Dispensable.
Fort appréciable reste l'interprétation des acteurs principaux comme des secondaires. M'ont bien plu les libertés de jeu que prirent Laughton par exemple, cabotin, vas! et Ray Milland bien entendu.
La photographie également est plaisante, bien tenue.
Mais au final, on se retrouve avec un petit film qui court plusieurs lièvres à la fois et perd la chasse en même temps que la place. Dispensable.
5
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le 5 janv. 2013
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