La Guerre des mondes par SPlissken
Spielberg nous fait partager la fuite de réfugiés suite à une attaque massive inconnue. En ruinant notre technologie, notre force, l'envahisseur nous pousse à redevenir humain, faible et perdu. Exit donc la testostérone par paquet de 24 et des couilles aussi grosses que des oranges, les personnages doutent, fuient, souffrent et subissent les événements.
Anxiogène, le film l'est avec des scènes parfaitement traitées et un bris du rythme dans sa dernière partie qui renforce encore plus l'aspect inéluctable du génocide.
Nous ne devons notre salut qu'à une erreur tactique de nos assaillants.