7
Le père ou l'épée
Sur le même schéma narratif que le sympathique Voyage Meurtrier, Route sanglante expose un Zatoïchi qui souffre de la solitude de son quotidien. Une voie qu'il a choisi lui même d'honorer, et...
Par
le 12 févr. 2016
2 j'aime
En fait, ils auraient pu mettre n'importe quel titre à n'importe quel film, non ?
Chouette épisode.
L'histoire comporte quelques petites maladresses et la relation entre Zato et le gosse aurait pu être approfondie ; en l'état c'est tout de même plaisant et puis j'aime bien la manière dont les auteurs amènent le masseur au milieu d'une histoire qui ne le concerne pas à la base, tel un grain de sable dans une machine. J'aime aussi le traitement des personnages : ce samouraï qu'il croise, on se doute bien qu'il devra l'affronter, mais c'est intéressant de voir que cette confrontation ne surviendra que lorsque les objectifs de chacun s'entrecroiseront : c'est ce que j'appelle de la bonne écriture.
La mise en scène comporte aussi quelques maladresses, mais globalement ça passe assez bien. L'effet neige, par exemple, est un peu kitsch mais ça passe malgré tout grâce à une surutilisation de celle-ci : en fait, le réalisateur assume clairement cet effet spécial cheap et c'en devient quelque chose de beau, quelque chose de fort. Les acteurs sont toujours bons. Je fus surpris de l'instant musical.
Bref, un bon épisode !
7
Écrit par
Créée
le 6 nov. 2015
Critique lue 223 fois
1 j'aime
D'autres avis sur La Légende de Zatoichi : Route sanglante
7
En fait, ils auraient pu mettre n'importe quel titre à n'importe quel film, non ?
Chouette épisode. L'histoire comporte quelques petites maladresses et la relation entre Zato et le gosse aurait pu être approfondie ; en l'état c'est tout de même plaisant et puis j'aime bien la...
Par
le 6 nov. 2015
1 j'aime
8
Le portait d'une femme.
Le film reste conventionnel dans son histoire,puisque celle-ci voit Zatoichi se retrouver en charge d'un gamin dont la mère vient de mourir à coté de lui. Elle lui confie son enfant afin qu'il le...
Par
le 9 févr. 2015
1 j'aime
Du même critique
5
Django in White Hell
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
10
Parfois je ris, mais j'ai envie de pleurer
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
120 j'aime
45
5
Critique de Taxi Driver par Fatpooper
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
107 j'aime
55
