Ne me mettez pas dans le noir patron…

Il était temps de pouvoir notez cette œuvre d’art confectionnez avec soin par Frank Darabont.
La ligne verte est à la base un roman écris par Stephen King grand auteur aux multiples succès.
L’histoire suit le quotidien d’un groupe de garde en 1935 s’occupant du couloir de la mort aux état unis, ségrégation oblige il n’était pas étonnant qu’un mystérieux prisonnier du nom de John Coffey débarque subitement afin d’être juger pour ces crimes immondes.
L’avancement du film nous feras savoir que le monde avais tort depuis le début sur celui ci.
Mini résumer pour un immense film remplis de petits détails et de qualité.
Frank Darabont connus également pour la réalisation du film The mist (encore Stephen King et encore un excellent film) nous offre ici un merveilleux film dramatique/spirituel.
Les films ne contient pratiquement aucun defaults, c’est purement subjectif mais je trouve les acteurs excellent (Tom hanks qui joue un Paul Edgecomb se questionnant constamment sur la bonté de ses actes, un Michael Clarke Duncan au corps massif mais au visage d’enfant !)
Sans comptez le reste du cast qui est moyennement connue mais éclate tout à l’écran.
Les décors sont réalistes, les petites maisons américaines de campagne, les cul terreux raciste en passant par les longues soirées solitaire de Paul autour de son verre de whisky et la radio diffusant de la country.
Le scénario est complètement prenant, a aucun moment on ne se sent vraiment perdue, tout s’écoule comme un long fleuve paisible parsemer de moment de terreur ou de fortes tristesse.
Les dialogues (cette fois ci remercions King) qui sont foudroyant, les mots de John Coffey sont blessant et dénote d’une conscience humaine a travers la naïveté voir même le retard d’un être innocent.
(Je suis fatiguer patron….ect).
La fin est punitive et plutôt violente pourtant nous y somme habituée depuis le début du films ! Toutes ces exécutions sont pour le moins touchante.
Et le gros point de ce films c’est le coter touchant, à énormément de moment les larmes sont montez à mes yeux, jusqu’au final ou c’était la crise de sanglot profonde.
Une question me trotte dans la tête, comment arrivent t’ils à nous faire pleurez la mort de type comme Edward Delacroix (pyromane multirécidiviste) ? Ils ont commis les pires atrocités mais le coter dichotomique du films nous fait oubliez leur mauvais cotées.
Un point pouvant être négatif comme positif pour certains.
M’enfin à titre personnel ce film seras toujours un 10 dans mon cœur, il y a sûrement des milliers de defaults que je n’ai pas pu voir (des larmes bloquait ma vue).
Merci à vous.