Director’s cut
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La Maison aux oiseaux s'inscrit dans une mouvance de film d'auteur. Eng Yow Khoo dépeint les relations tumultueuses de deux frères qui s'arrachent un héritage alors même que le père vieillissant est encore en vie. Ce dernier silencieux assiste à ce déchirement sans prendre parti. Il y a de bonne chose dans ce long-métrage (traitement du sujet) et des moins bonne (musique, faux rythme). Eng Yow Khoo sait développer une histoire qui se veut intimiste avec tact même si parfois c'est un peu poussé.
A noter que le dénouement final se termine sur une séquence "déroutante". Je n'ai pas encore tout comprit à ce que l'auteur nous montre. Entre rêve et réalité. Passé, présent. Plutôt énigmatique comme fin.
Un autre avis from M.I.A. : http://made-in-asie.blogspot.fr/2010/01/la-maison-aux-oiseaux-eng-yow-khoo.html
Créée
le 23 janv. 2012
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