Entre perte et déni
Le Japonais Takuya Kato a l’honneur d’ouvrir le bal, lors de cette rentrée cinématographique 2024, avec La mélancolie, second long métrage d’un homme plus habitué à la mise en scène théâtrale que...
Par
le 24 août 2024
7 j'aime
2
Critiques
Le Japonais Takuya Kato a l’honneur d’ouvrir le bal, lors de cette rentrée cinématographique 2024, avec La mélancolie, second long métrage d’un homme plus habitué à la mise en scène théâtrale que...
Par
le 24 août 2024
7 j'aime
2
Le choix de donner au film de Takeya Katô le titre de La Mélancolie va sans doute apparaître comme peu évidente à beaucoup de spectateurs qui trouveront, à juste titre, que celui-ci ne saurait...
le 30 mars 2024
7 j'aime
"La patience est une vertu pour certains et un facteur de mélancolie pour d’autres. Remarqué à la dernière édition du Festival des 3 Continents, Takuya Kato nous délivre une œuvre intimiste sur le...
Par
le 12 août 2024
3 j'aime
1
Il est d'abord question d'adultère, ce qui impose un minimum de désir et d'attirance. Il est ensuite question de remise en question, de culpabilité aussi, d'état d'âme ce qui implique introspection...
Par
le 21 août 2024
2 j'aime
Ce n'est pas parce que c'est lent qu'il ne se passe rien. Cela pourrait être la devise de ce film qui prend son temps certes mais c'est pour mieux établir le rapport entre les personnages, exposer...
Par
le 20 août 2024
2 j'aime
5
Sauver les apparences revient-il à préserver ou à saborder son existence ?Réprimer l'expression des sentiments est-il une sagesse ou une renonciation ?Ce sont les dilemmes du film qui, dans l'écrin...
Par
le 22 août 2024
1 j'aime
1
J'ai hésité à regarder ce film car j'avais peur d'à nouveau retrouver l'épure des films japonais projetés en France. Épure c'est un joli mot que j'utilise pour dire "scénario et dialogues absents...
Par
le 20 août 2024
1 j'aime
Wataki, femme en foyer sans enfants, n’aime plus son mari, absorbé par son travail et préoccupé par ses relations avec son ex-femme et son fils, dont il doit régulièrement s’occuper… Alors elle a un...
Par
le 19 août 2024
1 j'aime
2
Creu, vide, sans matière .Déception. Pourtant la bande annonce était bien.
Par
le 16 août 2024
1 j'aime
Un film comme quelques vers posés là, sans esbrouffe, tout en douceur avec cette retenue qui laisse songeur une fois encore sur la réalité des rapports sociaux au Japon
Par
le 14 août 2024
1 j'aime