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La mouche 2 reprend là où la version de Cronenberg s'arrête: le rejeton de Jeff Goldblum. Apparemment ce n'estpas facile à assumer vu ce qu'il s'en suit dans le film.
Le scénario manque souvent de bonnes idées et de subtilités et se contente de vouloir recopier son prédécesseur (véritablement un sentiment de déjà vu, allant parfois jusqu'à recopier des dialogues entre les protagonistes) alors qu'il entre ouvre certaines portes qui auraient pu lancer ce film dans une nouvelle aventure bien plus passionnante (plus dans la génétique ou encore l'enfermemnt d'un enfant à des vues scientifiques).
Par contre, le positif, c'est que le réal a claqué son budget en effet spéciaux. Ainsi, même si les scènes d ela mouche et autres créatures sont souvent grotesques, on ne peut que savourer ka texture de l'exosquelette, ou encore l'éjaculation cranienne sous la pression d'un ascenceur, ...
Enfin, le film rappelle que Eric Stoltz aurait pu avoir une toute autre carrière puisqu'il a failli interpréter Marty McFly à la place de notre Parkinson préféré; en effet le ressemblance est tellement troublante avec M J Fox qu'il aurait dû tout faire pour le remplacer dans Spin City.
Bref à voir pour les amoureux des animatronics et des effets spéciaux non numériques en matière de monstres et de gore.