La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume n’atteint pas les sommets de Suprématie, d’ailleurs le long-métrage n’essaie jamais de rivaliser avec son ainé et c’est tant mieux. Ici les enjeux sont moins élevés, mais le film n’en demeure pas moins une aventure simiesque passionnante et même haletante à certains moments. Même si au départ on pouvait légitimement remettre en question la nécessité de réaliser ce quatrième film, au final c’est avec cette nouvelle odyssée que la boucle est réellement bouclée, puisque ce Nouveau Royaume revient là où commençait le film de Franklin J. Schaffner en 1968.