Première scène, le héros principal qui glisse et qui se rattrape au dernier moment. Une relation entre le héros et son père auquel le fils doit faire ses preuves. L'oiseau en guise de fusil de Tchekhov pour participer au combat final. Un méchant dictateur qui est juste méchant...
Voilà ce qu'est ce film résumé en quelques scènes. Un néant total d' originalité. C'est un peu comme un plat de pâte, c'est deja 100 fois, ce n'est pas forcément bon mais tout le monde peut à peu prêt s'en contenter.
Un film qui nous fait réchauffer la même structure scénaristique de nombreux films hollywoodiens, tout en annihilant le moindre atomes de surprises et de suspens.
Je passe vite sur le discours final un ridicule profond auquel le singe fait une leçon de morale à l'héroïne humaine qui essaye de survivre en compétition avec les singes. Le film se contredit lui même car pendant le reste du film on nous apprend que les singes veulent utiliser cette technologie pour dominer le monde, mais bon, toit de même un peu de générosité.