Si cette pré-quel n'a de sens que pour le premier volet de la saga. Il n'en demeure pas moins q'une bonne idée, un concept tenace, une réponse censée au pourquoi de comment.

Je dis oui sur le traitement en motion capture des singes, avec un Andy Serkis parfait en César aka Milo dans l'ancienne saga. Le parcours du singe en martyr est d'une estefficacité parfaite. Le traitement d'animaux faible et souffrant face à la nature humaine d'une évidence parfaitement mené. Rarement pareil traitement n'aura été plus efficace, bien pire que dans des films comme Martyrs.

Certes James Franco n'est pas une lumière sur ce phare, mais son rôle en coupable ambigüe de la nature humaine demeure crédible, ou pire, réaliste.

La promiscuité aveugle avec l'amour d'une espèce primate demeure crédible, un brin cruel dans son rapport de force, l'intelligence et la conscience faisant tout l'attrait paradoxale entre l'homme et l'animal. Un animal bien plus humainement simple, un humain simplement plus passionnné de son pouvoir (une maladie d'azheimer irréversible).

Le film est mené d'effet de mise en scène simple, dynamiquement audacieux bien que peu originale, et d'une facture scénaristique efficace à défaut d'être parfaite.

La fôret de pin comme paradis rousseauiste pour un idéal primate est mené d'une façon evidente, un brin cliché certes, mais comme une quête de liberté au reflet d'erzast,pour un futur bien plus simple. Un virus ravagera l'espèce humaine.

On passera sur la trame scénaristique entre un patron borné et un scientifique en soudaine prise de conscience, sur une vétérinaire naïve, un héros un brin idiot, pour en retenir un film rondemment menée a la hauteur d'exigence plutöt faible au départ.

En sympathie, un gorille se sacrfifiant à la cause, des plans-séquences d'un singe équlibriste dans une maison, une bataille primate gagné face à la sous-estimation humaine, et un film rassurant sur un sujet plutôt casse-gueule.

Un plaisir làou se niché beaucoup de craintes, un film propre et efficace, à défaut d'être révolitionnaire; un plaisir coupable pour néophyte comme pour initié.

César is the master !!!

Ohouwen
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le 30 sept. 2011

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Ohouwen

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